« L’interculturel interroge en effet les temporalités, les lieux et les échelles des interactions entre des interlocuteurs et interlocutrices identifié(e)s et/ou s’identifiant comme culturellement différent(e)s, dans des cadres à la fois scolaire et extrascolaire.
Les enjeux éducatifs liés à un questionnement autour de l’interculturel sont doubles, ce qui les rend d’autant plus difficiles à appréhender et à mettre en œuvre : d’une part préparer les élèves à vivre et travailler dans un monde où les multiples formes de mobilité font de la coopération avec des personnes venant d’horizons divers une nécessité, d’autre part accompagner les enseignant(e)s et les autres personnels de la communauté éducative à penser et prendre en charge ces mêmes évolutions, dans le cadre cette fois de l’exercice de leur métier au quotidien, à l’heure actuelle ».[1]
Dans le cadre des méthodes d’éducation non-formelles, l’art tient une place primordiale.
Favoriser le dialogue entre différentes cultures, entre autres par le biais du secteur des Arts et de la Culture.
Faciliter l’accès de tous les enfants à la culture en tant que mise en application de leur droit à l’éducation, à l’expression de leurs talents et de leur créativité et de leur droit à connaître et développer leur propre culture (cf. Convention des droits de l’enfants articles 28,29,30).